Réveil plus ou moins en douceur par la femme de ménage, venue taper à la porte vers 9h. J'ai été coupée en plein milieu d'un rêve fascinant où il était question, pèle mêle, d'une partie de foot dans l'herbe, des bottes à talon de ma mère, d'un bar anglais à ciel ouvert, de dizaines de fées clochettes à usage unique, d'un acteur de Veronica Mars avec des mèches blondes platines, de l'anniversaire d'un petit garçon, d'une tente effondrée, de gros ballons noirs et d'animaux marins inconnus. J'aurai aimé en connaître la fin.
Bref, l'esprit pratique, j'ai subtilisé une de leurs serviettes de toilette pour mon usage personnel, et on est parties attendre le taxi. Enfin, j'ai attendu le taxi, sous le beau temps anglais (une pluie légère donc), qui est arrivé vers 11:10. Cette fois, on a commandé un six-siters, un espèce de mini van avec assez d'espace pour caser nos valises, et on est parties à l'agence de location pour remplir tout un tas de papiers, payer tout un tas de trucs et récupérer nos clés.
The neighborhood, aka la photo inutile de l'endroit où j'ai attendu les filles avant d'enfin découvrir notre maison. Ouais, on a encore dû prendre deux taxis, saletés de valises. Une centaine de maisons pour étudiants, ça fait un max de voisins, et selon la dame de l'agence, beaucoup, beaucoup de nouveaux amis. Je vous tiendrai au courant.
L'armoire sans étagère, super pratique, m'oblige à ranger mes affaires de manière créative. Alors, en partant du bas, les chaussures en dessous, les t-shirts, pantalons et jupes au fond, les pulls, vestes et robes sur des cintres, les écharpes, et encore au dessus, sacs, chaussettes et pyjamas.
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